DERNIER THÉ À BADEN-BADEN   L’univers absurde et catatonique, au géranium enrichi, des cartes postales des Plonk et Replonk, faite de clichés détournés et de poésie loufoque, est propulsé dans les 4 dimensions par le mariage interracial de la scène, de la vidéo météo et du bruitage zinzin. Autrement dit, un travail de saboteurs et de vandales à la solde d’un détraqué ?
Spiritviews / Loïc Pipoz  /  Dernier thé à Baden-Baden - 2010 à 2012  /  7 of 9       Show captionHide caption